Soyez réconciliés
Ils sont assis côte à côte sur un tapis de paille, lui, vêtu d’un pantalon beige et d’une chemise blanche et pourpre, et elle, vêtue d’une robe bleue et jaune. « J’ai pris part à l’assassinat du fils de cette femme », dit François, l’un des milliers d’hommes hutus qui ont commis des crimes contre les Tutsis lors du génocide rwandais de 1994. « Il a tué mon fils », dit Épiphanie, « puis il est venu me demander pardon. »
Appelés à aimer
Pendant huit jours, j’ai parcouru le nord de l’Angleterre à pied avec un ami. Lors de la deuxième journée, nous avons pu contempler durant presque toute notre marche le château Dunstanburgh, un fort en ruines du XIVe siècle. Thomas, comte de Lancastre, l’a construit dans le but précis d’exhiber sa richesse et sa gloire. De bien des façons, il y est parvenu. Sept siècles plus tard, le nom de Thomas perdure grâce à son château. Ce comte a cependant échoué dans ce qui comptait le plus. Devant son château se trouve un panneau sur lequel on lit que cet homme était « arrogant et impopulaire ».
Service cruciforme
Je suis désolé d’apprendre ce que vous avez traversé depuis la dernière fois que nous nous sommes parlé, m’a dit mon ami Adrian alors que nous marchions. « Comment Merryn et toi allez-vous maintenant ? » « Dans l’ensemble, nous allons mieux, ai-je répondu. Nous essayons de penser aux côtés positifs de la situation et aux opportunités qu’elle nous offre. »
Fin heureuse
Dans les années 1880, Daeida Wilcox et son mari ont acheté un terrain de 160 acres dans le but d’y fonder une ville, mais pas n’importe laquelle. Daeida souhaitait qu’Hollywood corresponde à l’utopie des chrétiens – un lieu paisible, sans alcool ni armes.
Le véritable succès
Quelle est votre définition du succès ? Voici ce que des gens ont répondu : « Être heureux », « Atteindre ses buts », « Voir les gens accepter le salut ». Un ami a dit : « Le succès, c’est de jouir de la prospérité de Dieu dans tous les domaines de ma vie : spirituel, physique, financier et relationnel. »
Lieux sacrés
C’était un endroit saint, un endroit sacré, un lieu de culte comme nul autre. Avant l’ère du marbre et de l’or, des autels et des pierres précieuses, des colonnes, des murs et du lieu très saint, c’était un endroit de rencontre entre l’humain et l’Éternel. Le coût de sa construction avait été relativement bas, il n’était pas grandiose en apparence et ne suscitait pas l’envie. Après tout, ce n’était qu’une tente.
Communauté des cicatrisés
Pendant qu’un missionnaire servait en Estonie, plusieurs malentendants ont reçu le salut en Jésus. Les nouveaux croyants ont alors commencé à prier avec ferveur pour recouvrer l’ouïe et, miraculeusement, deux d’entre eux ont été exaucés ! Cependant, le missionnaire se souvient que, « dès cet instant, ces deux frères ont cessé de faire partie de la communauté des sourds ». C’est à ce moment que les autres croyants sourds ont compris que leur surdité était un don leur permettant d’atteindre de façon personnelle un segment de la société.
Un « Jésus kitsch »
Le « Jésus kitsch » est très populaire. Sur les tableaux et les affiches, il a toujours les dents blanches et droites, un teint resplendissant, de beaux yeux bleus et brillants, et de longs cheveux ondoyants. Il apparaît souvent en flou artistique, assis au soleil dans une paisible campagne, à regarder affectueusement l’agneau qu’il tient dans ses bras. Le « Jésus kitsch » porte de longues robes blanches, même lorsqu’il apparaît dans une scène moderne, et tient parfois un bâton de berger. Le « Jésus kitsch » est insouciant et ne plisse jamais le front. C’est le Jésus des cartes de souhaits, qui répand une odeur de lavande, un personnage mythique qui va nonchalamment par les prés.
Un rêve
Corneille était en train de prier lorsqu’il a eu une vision d’un ange lui disant d’inviter l’apôtre Pierre chez lui (AC 10.2‑6). Le centenier romain a donc envoyé ses serviteurs trouver l’apôtre, en lui précisant que Corneille et sa famille étaient prêts à entendre le message de Pierre (V. 22). Ayant reçu sa propre direction divine (V. 9‑21), Pierre les a suivis et leur a annoncé l’Évangile, et toute la famille de Corneille a cru (V. 23‑48). Cet événement constitue un rendez-vous divinement organisé.
Le véritable amour
Un homme et une femme que je connais se sont rencontrés, sont tombés amoureux et, avec le temps, ont réalisé qu’ils désiraient s’épouser. Mais il y avait un hic. Tous deux avaient déjà été mariés et avaient eu des enfants de leur union précédente. Ils avaient connu des divorces amers et les enfants en souffraient encore. Comment leurs enfants allaient-ils être affectés par ce nouveau mariage ? Est-ce que l’intégration des deux familles allait se faire sans problème ? Cela en valait-il la peine ?